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Pétain, bourreau ou bouclier des juifs ?

Après « Je brûlerai ma gloire » et « La tragédie du Maréchal », Jacques Boncompain publie, aux éditions Godefroy de Bouillon, « Pétain, bourreau ou bouclier des juifs ? ». Cet ouvrage, préfacé par Valentin Saint-Arnoult, de la famille Schwartzmann, victime de la Solution Finale, révèle les efforts déployés par le Maréchal et son gouvernement pour protéger les juifs français. Un monument de vérités, qui va à l’encontre du discours officiel ; un ouvrage à lire et à relire ; un ouvrage qui doit figurer dans toute bonne bibliothèque. A écouter en fin d’article l’entretien donné à Radio Courtoisie.


 

Par humanité et souci de clarté Pétain n’a pas voulu intervenir sans concertation avec les intéressés. Les Juifs les plus éminents reconnaissent presque tous que le gouvernement a le droit d’élaborer une législation restrictive des droits des juifs, y compris le grand Rabbin de France Isaïe Schwartz, à condition que les restrictions introduites n’imitent pas la législation allemande et ne portent pas atteinte à une égalité acquise sur les champs de bataille et par la communauté des valeurs : Patrie, Famille, Travail.
Il manifeste un attachement à la Patrie qui le blesse : « A une loi d’exception nous répondrons par un dévouement sans défaillance à la Patrie. En même temps, nous demeurerons fidèles au culte du Dieu Un, à la révélation du Sinaï. Les Français israélites ont pris pour devise : Religion, Patrie. Toujours fidèles à cet idéal, nous puisons notre courage et notre espérance dans l’amour de Dieu et dans les leçons de la Bible, source de la vie spirituelle du peuple français. »
Pétain lui répondra : « L’obéissance à la loi est un des principes essentiels de tout État et une des conditions indispensables au redressement de la France que je poursuis, vous le savez, de toutes mes forces, en faisant appel au dévouement et, si besoin est, à l’esprit de sacrifice de tous mes concitoyens, dans quelque condition qu’ils se trouvent placés. Je suis heureux de constater que vous êtes animé de ces mêmes sentiments et je vous remercie de me les avoir exprimés. »

Jacques Boncompain, Président de l’ADMP, sur Radio Courtoisie.


Editeur : Godefroy de Bouillon.
Pages : 352 pages.

Prix : 35 euros.